L’Ecole Française de Sophrothérapie est attentive à la motivation et à l’implication des stagiaires durant le cycle de formation.
Pourquoi ? Parce qu’une formation de sophrologie réclame un investissement personnel. Etre sophrologue implique de faire un travail sur soi-même, avant de pouvoir conduire une relation d’aide. De plus, d’un point de vue pratique, si la formation à distance est une source d’autonomie et une solution flexible appréciable, elle peut se révéler piégeuse pour les futurs praticiens peu impliqués.
L’implication comme gage de résultats personnels
L’EFDS a pour objectif d’accompagner les stagiaires à devenir des praticiens opérationnels dès la fin de leur cycle de formation. Le travail s’étend sur plus de 300 heures. Le cursus est sanctionné par une certification attestant du suivi de l’enseignement, de la participation aux séminaires, de la réflexion sur un ou plusieurs sujets d’étude, etc.
Le stagiaire est accompagné par un formateur expérimenté, un référent qui le conseille et répond à ses questions si besoin. Un manque d’implication est donc détectable, et se répercute automatiquement dans les résultats au moment de la validation de la certification de sophrologue délivrée par l’EFDS. Il est impératif d’être organisé, consciencieux, et d’indiquer à son référent son ressenti sur la formation, y compris ses doutes, ses interrogations, et ses craintes. A une époque où le parcours professionnel est semé d’embûches, la motivation est de rigueur pour éviter de perdre du temps et de l’énergie, dans une formation qui ne nous convient pas.
L’implication comme gage de résultats professionnels
Plus concrètement, le futur praticien doit passer par un travail personnel sur lui-même pour devenir un sophrologue armé devant les cas de figure qui se présenteront à lui au cours de l’exercice de sa profession. Le praticien est forcément confronté à des implications psychologiques et émotionnelles, qu’il est compliqué de gérer s’il n’est pas préparé. Le module 8 du la formation de sophrologie de l’EFDS s’intéresse par exemple aux notions de transfert et de contre transfert.
Le sophrologue doit être capable de prendre du recul, pour mener à bien la relation d’aide. S’il n’y parvient pas, il ne saura ni trouver la bonne démarche à mettre en œuvre, ni sélectionner les outils et les techniques appropriés. Ce travail est réalisé en parallèle de la formation, et distinctement. Sans ce travail approfondi, en cours, ou achevé, qui demande évidemment une implication de la part du stagiaire, les perspectives professionnelles ne peuvent aboutir.
De l’écoute à l’analyse en passant par l’entrainement
Le sophrologue doit être apte à écouter son client, pour déterminer un objectif à atteindre, élaborer la démarche, et fixer une date de fin de la relation d’aide. Cette analyse est conditionnée au respect des valeurs d’éthique et de déontologie. Afin d’obtenir ce savoir-faire et ce savoir-être, il faut s’entrainer, quitte à éprouver des difficultés concrètes, pour mieux en tirer des leçons pour la suite. C’est donc l’implication qui est le moteur de la formation en sophrologie à tout point de vue.
Si vous désirez découvrir en détails la formation de sophrologie délivrée par l’EFDS, contactez-nous.
Sébastien BORCHI